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Date de création : 22.05.2009
Dernière mise à jour :
06.09.2021
10077 articles
Des caméras corporelles pour policiers dans le métro dès aujourd’hui 3/22
Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a lancé mercredi son projet pilote de caméras corporelles pour policiers auprès de 10 agents affectés au réseau du métro.
La semaine prochaine, 10 autres agents du métro seront inclus dans le projet. La semaine suivante, une équipe de 10 policiers affectés à la circulation dans le secteur centre commenceront aussi à porter les caméras corporelles.
Ces équipes ont été choisies pour la première phase du projet puisqu’elles oeuvrent en public, où il y a une moins grande «expectative de la vie privée», selon le SPVM.
Dans une deuxième phase, des agents affectés à des postes de quartier (PDQ) à déterminer seront eux aussi munis de caméras. Ces agents procèderont à des interventions tant au domaine privé qu’en public.
Les agents participants devront les activer lorsqu’ils ont l’intention d’appliquer une loi ou au cours d’une situation d’urgence, selon le directeur du SPVM, Philippe Pichet. Ils pourront les éteindre lorsqu’il est question d’atteinte à la vie privée ou à la dignité. Les agents participants ont reçu une formation de deux jours pour bien connaître les procédures. Ils devront avertir les citoyens qu’ils interpellent lorsqu’ils commencent à filmer.
Le projet pilote dispose d’un budget de 1,7M$ pour l’année 2016, et est le premier projet du genre au Québec. Après une période d’évaluation et une consultation publique, la Ville et le SPVM doivent décider avant juin 2017 si le projet sera étendu de façon permanente. Le déploiement à grande échelle débuterait alors en 2018.
Le maire de Montréal, Denis Coderre, a affirmé en point de presse avoir un «sentiment favorable» envers le projet, qui améliorera selon lui la sécurité de la population et des policiers, et qui favorisera la transparence et le lien de confiance entre le SPVM et les Montréalais.
«Nous vivons à l’époque de la vidéo instantanée, où tout est filmé, diffusé, partagé, commenté, critiqué et finalement jugé par la population, a déclaré le maire. L’information recueillie par les caméras portatives nous permettra de voir les deux côtés de la médaille.»
Questionné à savoir si les policiers qui négligent d’allumer leur caméra subiront des conséquences, le SPVM a rétorqué que ces agents devront «s’expliquer» lorsque c’est le cas. Les policiers ne pourront consulter la vidéo qu’ils ont tournée qu’après avoir rédigé leur rapport d’incident, et ne pourront pas l’effacer ou la modifier.
«Ce qu’on dit à nos recrues quand ils arrivent, c’est qu’ils doivent faire leurs interventions toujours comme s’ils étaient filmés, a affirmé M. Pichet, en ajoutant que les policiers veulent ces caméras. Le policier n’a pas intérêt à ne pas partir la caméra, parce qu’il n’y a qu’une seule façon d’intervenir, c’est la façon professionnelle.»
Le conseiller du district Jeanne-Mance pour Projet Montréal, Alex Norris, salue cette technologie «prometteuse», mais croit que les agents doivent être surveillés pour que le SPVM s’assure qu’ils allument leur caméra lorsqu’ils sont appelés à le faire.
«Il faut que ce soit bien encadré. Il faut que les policiers n’aient pas trop de marge de manœuvre et qu’ils activent systématiquement ces caméras quand ils sont légalement obligés de le faire», juge-t-il.
Fonctionnement
Pour commencer à filmer, l’agent doit enfoncer deux fois un bouton sur le devant du dispositif. Pour cesser de filmer, il doit tenir le bouton enfoncé.
À la fin de son quart de travail, le policier dépose la caméra dans une borne de recharge, qui téléverse automatiquement les bandes vidéos.
Ces vidéos seront conservées 3 ans, 3 mois et 3 jours dans le cas d’interventions simples, et indéfiniment, dans le cas d’actes criminels. Elles pourront être utilisées comme preuve, et les citoyens et journalistes pourront les consulter s’ils font une demande d’accès à l’information.
La hausse des méfaits violents liée à la lutte au crime organisé
Malgré une hausse de 48 % des tentatives de meurtre l’an dernier à Montréal, les citoyens ne doivent pas s’inquiéter d’une montée de violence dans les rues, estime le directeur adjoint du SPVM, Claude Bussières. Le Journall’a rencontré au lendemain du dépôt du bilan annuel du service policier.
Il y a eu 111 tentatives de meurtre en 2015, contre 75 l’année précédente. Comment l’expliquer?
En 2015, on a mené des opérations majeures qui ciblaient le crime organisé et les gangs de rue. Les têtes dirigeantes ont été arrêtées et il y a des gens qui veulent reprendre le pouvoir. Ça crée des guerres à l’interne, souvent pour le contrôle des territoires de stupéfiants. Ce ne sont pas de purs innocents qui se font attaquer sur le trottoir. La population n’a pas à s’inquiéter outre mesure. On est aux aguets.
On a enregistré près de 600 fraudes de plus qu’en 2014. C’est la nouvelle mode?
C’est beaucoup plus facile d’obtenir directement de l’argent en fraudant qu’en faisant un vol dans une maison, où il faut revendre les objets. Avec les moyens technologiques, le gain est plus rapide. C’est sûr que les fraudeurs aiment bien s’attaquer aux personnes âgées, qui sont peut-être plus vulnérables. On fait beaucoup d’opérations pour contrer ce phénomène.
Votre bilan indique une hausse de 17 % des agressions sexuelles. Est-ce parce que les gens dénoncent plus qu’avant?
Nous travaillons afin que les gens brisent le silence. Dans la dernière année, il y a eu le phénomène où les gens rapportaient les crimes sur les médias sociaux, l’affaire Ghomeshi et l’affaire Marcel Aubut. Ces trois mouvements pourraient expliquer pourquoi les gens étaient plus enclins à dénoncer les agressions sexuelles rapidement.
Les armes intermédiaires (poivre de Cayenne, pistolet Taser, bâton télescopique) ont toutes été utilisées plus souvent l’an dernier. Pourquoi?
On va tout faire pour utiliser tout autre équipement que l’arme de service pour régler une situation. Qu’est-ce qui explique l’augmentation? Je ne peux pas vous le dire. Les gens qui ont des problèmes de santé mentale peuvent être plus difficiles à contrôler sur la rue. C’est plus difficile d’établir un contact et de résoudre un problème avec la persuasion, mais c’est certain qu’on privilégie toujours le dialogue.
Les cyclistes ont reçu plus de contraventions l’an dernier. Faut-il plus les sensibiliser à la prudence, en raison du nombre croissant d’accidents les impliquant?
Il n’y a pas de mot d’ordre concernant les cyclistes, mais dans le bilan routier, les deux tiers des décès sont des piétons ou des cyclistes. Sans dire qu’on va donner plus de contraventions, on va continuer au même rythme qu’en 2015. Ça ne devrait pas aller en diminuant. Il y a aussi plus de cyclistes, de pistes cyclables et d’offres de services, comme BIXI. Ça peut expliquer l’augmentation.
Bilan du SPVM: disputes et gangs de rue en trame de fond
Neuf des 29 meurtres répertoriées cette année sur le territoire du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) jusqu'à hier étaient liées aux gangs de rue, deux fois plus que l'an dernier.
Alors que les dernières années ont été marquées par plusieurs meurtres liés au crime organisé, ce sont majoritairement les disputes de toutes sortes qui ont constitué la plus grande partie des mobiles des meurtres commis en 2015 sur le territoire du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).
Le seul meurtre que le SPVM associe au crime organisé est celui de Claudio Marco Campellone, 24 ans, tué à deux pas de la résidence familiale du quartier Rivière-des-Prairies le 18 septembre dernier.
PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, ARCHIVES LA PRESSE
Neuf des 29 victimes répertoriées jusqu'à hier étaient liées aux gangs de rue, deux fois plus que l'an dernier. Mais le SPVM assure que ces événements ont plusieurs mobiles différents plutôt qu'un seul fil conducteur.
Ainsi, même si Kevin Alves Loures et Guylianno Davance, qui ont été tués à la sortie d'un bar du boulevard Saint-Laurent, devant plusieurs témoins, le 2 août dernier, auraient eu des liens avec des gangs de rue, selon la police, leur meurtre n'aurait rien à voir avec les activités des gangs.
« Pour nous, cette affaire a été jusqu'à maintenant la plus marquante de l'année pour la collaboration qu'il y a eu entre les unités d'enquête et avec les citoyens, et la rapidité avec laquelle des suspects ont été arrêtés malgré la complexité du dossier », affirme le commandant Vincent Rozon, de la section des crimes majeurs du SPVM. Rappelons que trois hommes ont été arrêtés relativement à ces meurtres.
Cependant, les dernières semaines ont été marquées par un conflit sanglant entre deux cliques liées aux gangs de rue, celles des plans Robert et Bellechasse, qui se profilerait derrière les assassinats de trois jeunes - Tilus Saintilus, 20 ans, commis le 26 février, ainsi qu'Alexandre Tremblay, 22 ans, et Joey Grace, 20 ans, qui se sont produits tout récemment. À noter que la moyenne d'âge des victimes des meurtres liés aux gangs de rue à Montréal en 2015 est d'environ 23 ans.
Un autre meurtre que la police associe au crime organisé est celui de Claudio Marco Campellone, 24 ans, tué à deux pas de la résidence familiale du quartier Rivière-des-Prairies le 18 septembre dernier.
À moins d'un revirement spectaculaire d'ici demain, la tendance à la baisse du nombre de meurtres observée à Montréal depuis quelques années s'est poursuivie en 2015. « Quand on regarde les statistiques canadiennes, la criminalité baisse partout. Plusieurs têtes dirigeantes du crime organisé et des criminels influents ont été mis sous les verrous et tous ces efforts portent leurs fruits un moment donné. Il y a peut-être également la technologie et la médecine qui s'améliorent constamment, qui sauvent plusieurs vies », conclut le commandant Rozon.
Le bilan officiel des meurtres du SPVM fait état actuellement de 30 assassinats en 2015. Il comprend la mort le 24 janvier dernier d'Hélène Leduc, atteinte d'une balle à la nuque lors d'un vol qui a mal tourné dans une succursale de la Société des alcools de Baie-d'Urfé en 2010. Or l'autopsie a finalement révélé que Mme Leduc est morte d'une longue maladie. En réalité, 29 meurtres ont été commis pour le moment à Montréal en 2015.
MOBILES
VICTIMES
DOSSIERS RÉGLÉS EN 2015
TAUX DE RÉSOLUTION
Plus de 60 %
NOMBRE DE MEURTRES
Recherche de victimes potentielles
Les enquêteurs du Module exploitation sexuelle des enfants à des fins commerciales du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) sont à la recherche de victimes potentielles de Walid Mustapha Chaloub, arrêté le 27 novembre dernier. Il a comparu le lendemain et fait face à une série d’accusations incluant agressions sexuelles, extorsion, menaces de mort, proxénétisme et séquestration.
Le suspect, âgé de 31 ans, invitait des jeunes femmes mineures à venir faire la fête chez lui, dans l’arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville. Il profitait de leur naïveté pour leur offrir de faire beaucoup d’argent, sans trop préciser en quoi consistait le travail. Il leur faisait alors signer un contrat où il était précisé que si elles brisaient le contrat, elles devraient payer une pénalité de quelques milliers de dollars. Walid Mustapha Chaloub précisait ensuite aux victimes la teneur du travail à accomplir pour honorer le contrat soit de faire de la prostitution, de vendre de la drogue ou de faire de la fraude. Il demandait aux victimes d’avoir une relation sexuelle avec lui afin, selon ses dires, de respecter l'entente signée. Dans tous les cas, les jeunes filles ont refusé de se livrer aux gestes sexuels demandés. C’est à ce moment qu’il réclamait le montant d’argent pour rupture de contrat. Ses victimes sont âgées de 15 à 18 ans et les enquêteurs ont des raisons de croire qu’il pourrait y en avoir d’autres.
Walid Mustapha Chaloub mesure 1,9 m (6’3’’) et pèse 65 kg (145 lb). Il est originaire du Moyen-Orient, a les cheveux noirs en mohawk et les yeux bruns.
Toute personne qui aurait été victime ou qui connaît quelqu’un qui aurait pu être victime de cette personne est invitée à se rendre au poste de police de son quartier ou à communiquer avec le 9-1-1.
Recherche de victimes potentielles
Montréal, le 4 juillet 2013- Les enquêteurs de la Section des agressions sexuelles de la Division des crimes majeurs du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) ont procédé, le 26 juin dernier, à l’arrestation d’un homme de 36 ans. Marc-André Meunier fait face à des accusations d’incitation à des contacts sexuels. Il aurait également fait des victimes ailleurs à Montréal, sur la Rive-Sud et sur la Rive-Nord.
Le 17 juin vers 17 h, trois fillettes âgées de 10 ans et le petit frère de l’une d’elles circulaient à pied sur la rue de la Gauchetière près de la 8e Avenue dans l’arrondissement Rivière-des-Prairies — Pointe-aux-Trembles. Ils ont remarqué la présence d’un véhicule blanc avec un homme à l’intérieur. Ce dernier a fait des gestes à caractère sexuel lorsque les enfants sont passés près de lui. Ceux-ci sont entrés dans un dépanneur, ont fait leurs achats et sont ressortis. L’homme dans la voiture s’est stationné un peu plus loin afin que les enfants repassent devant sa voiture. Il leur a fait à nouveau des gestes à caractère sexuel et a même été jusqu’à les inviter à monter dans sa voiture. L’une des fillettes a alors pris en note le numéro d’immatriculation de la voiture et l’a transmis à un policier se trouvant tout près.
Suite à l’interrogatoire de Marc-André Meunier, les enquêteurs ont de bonnes raisons de croire qu’il aurait pu faire d’autres victimes à Montréal, sur la Rive-Sud et sur la Rive-Nord. L’homme conduit une Chevrolet Cobalt blanche 2008. Il mesure 1,76 m (5’10), a les cheveux bruns et les yeux bleus. Il porte la moustache et la barbe. Marc-André Meunier semblerait cibler particulièrement les jeunes filles d’environ dix ans.
Quiconque croyant avoir été victime de Marc-André Meunier, ou qui désire fournir de l’information sur cet homme est invité à communiquer avec le 911 ou son poste de quartier.
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Relationniste médias
Relations médias
Service de police de la Ville de Montréal
514 280-2777
Communiqués
5 septembre 2013, 14 h-
Montréal, le 5 septembre 2013. — Au cours de la nuit du 4 au 5 septembre, les policiers du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) ont mené une opération en vue d’arrêter des individus qui seraient impliqués dans la fabrication et la vente de drogues de synthèse.
En tout, onze personnes ont été arrêtées soit neuf hommes et deux femmes dont une est d’âge mineur. Trois des onze suspects ont été arrêtés pendant qu’ils effectuaient une transaction de drogue hier à Montréal. Au cours de l’intervention, les suspects ont foncé avec leur véhicule sur l’un des policiers. Celui-ci a subi des blessures mineures à la jambe et a pu recevoir rapidement son congé de l’hôpital.
Dans le cadre de cette opération, les policiers du SPVM ont procédé, avec la collaboration de la Gendarmerie royale du Canada, à cinq perquisitions sur les territoires de Napierville, Saint-Denis-sur-Richelieu, McMasterville et Saint-Basile.
Au total, les policiers ont saisi :
Cette opération a été amorcée à la suite d’informations reçues par les policiers concernant un laboratoire clandestin d’encapsulage et dont les produits étaient destinés au marché montréalais.
Pour l’instant, les suspects font face aux chefs d’accusation suivants : production de stupéfiants; possession en vue d’en faire le trafic; complot; agression armée; possession d’arme prohibée; possession d’arme prohibée chargée et trafic de stupéfiants. D’autres accusations sont à venir.
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Source :
Module relations médias
Section des communications corporatives
SPVM
514 280-2015
Communiqués
23 août 2013, 14 h 22-
Montréal 23 août 2013 - Les policiers de la région Nord du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) ont procédé à l’arrestation, le 15 août dernier, d’un suspect lié à des vols ciblant des personnes d’origine asiatique.
Van Hai Nguyen, âgé de 39 ans, a comparu le lendemain et fait face à des accusations de harcèlement criminel, de voies de fait graves, de vols qualifiés et d’avoir administré une drogue à une personne.
Le suspect utilisait les journaux asiatiques pour cibler ses victimes. Dans les deux cas portés à l’attention du SPVM, les victimes y avaient placé des annonces pour la vente d’un commerce. Van Hai Nguyen prenait ensuite rendez-vous avec les victimes à leur résidence ou commerce. Lors du rendez-vous, le suspect a utilisé différentes stratégies afin de verser une substance liquide dans le verre de ses victimes. Cette substance, très forte, a eu pour effet de les neutraliser. Elles devenaient semi-conscientes et leur mémoire était grandement affectée. Lorsque la substance faisait effet, Van Hai Nguyen en profitait pour dépouiller ses victimes de leur argent et bijoux.
Van Hai Nguyen utilisait deux noms : Andy Nguyen et Long.
Toute personne qui pourrait avoir de l’information de cette sujet, qui aurait été témoin d’un événement ou qui aurait pu être victime de cette personne est invitée à se rendre au poste de police de son quartier ou à communiquer avec le 9-1-1.
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Relations médias
Communications corporatives
SPVM
514 280-2777
Communiqués
19 avril 2013, 15 h 20 -
Montréal, le 19 avril 2013 - Les enquêteurs de la région Sud du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) demandent l’aide du public afin d’identifier un homme décédé.
L’homme mesurait 1,70 m (5’7’’) et pesait environ 59 kilos (130 lb). Il avait la peau blanche, les cheveux noirs courts et les yeux bruns. Il portait la moustache et la barbe. Lorsque retrouvé, l’homme portait une casquette noire, un chandail noir avec l’inscription « MICHAUDVILLE », des pantalons noirs de grandeur médium et de marque Sporter. Aux pieds, il avait des chaussures bleues de marque SPTK de pointure 9. D’après ses cicatrices, l’homme aurait possiblement subi une intervention chirurgicale tel un pontage coronarien.
Les enquêteurs tentent d’identifier l’homme afin d’aviser la famille de son décès. Toute personne voulant nous transmettre de l’information concernant ce dossier peut le faire de façon anonyme et confidentielle en communiquant avec Info-Crime Montréal au 514 393-1133.
Recherche de victimes potentielles
Les enquêteurs de la Section des crimes économiques du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) sont à la recherche de victimes potentielles d’un suspect arrêté dans un dossier de vols et de fraudes.
Le 5 avril dernier, les enquêteurs ont procédé à l’arrestation d’Alexandre Martel Moisan. Impliqué dans une vingtaine d’évènements, le suspect utilise principalement deux méthodes. Il communique avec une victime via un site de rencontre et gagne graduellement sa confiance. Il lui vole ensuite des biens ou lui emprunte de l’argent sous de faux prétextes, pour ensuite disparaître sans laisser de trace. Il se présente à ses victimes sous un faux nom. Dans d’autres événements, il feint d’être à la recherche d’un logement et entre en contact avec des annonceurs sur le web. Il visite les appartements et se montre très intéressé. Dans certains cas, il va même jusqu’à emménager avec la victime. Finalement, il se volatilise avec les biens qui se trouvaient dans l’appartement.
Le suspect est un homme de 27 ans qui mesure 1,77 m (5’10’’) et pèse 70 kg (155 lb). Il a les cheveux bruns et courts et les yeux bruns. Il utilise les noms suivants : Mathieu Déry, Mathieu Francis Déry, Mathieu Pelletier Déry, Francis Alexandre Déry Pelletier.
Toute personne qui connaît quelqu’un qui aurait pu être victime ou qui aurait été victime de cette personne est invitée à se rendre au poste de police de son quartier ou à communiquer avec le 9-1-1.
Actualités
21 mars 2013, 17 h
Une manifestation est prévue dans les limites de l’arrondissement Ville-Marie le vendredi 22 mars vers 17h.
Nous vous rappelons que le SPVM n’est pas là pour juger de la pertinence d'une cause, mais bien pour assurer la sécurité de tous les participants qui y prendront part et de tous les citoyens et commerçants qui se trouveront aux abords du trajet.
De plus, le SPVM a aussi pour rôle de préserver le sentiment de sécurité de tous citoyens, qu’ils fassent partie ou non d'une manifestation.
Le SPVM respecte entièrement le droit de manifester, mais tient à rappeler qu’il peut être exercé tant et aussi longtemps que cela ne met pas en péril la sécurité des gens ni celle des policiers, et que la manifestation respecte les lois et les règlements sur le territoire. Lorsque des infractions sont commises ou qu’il y a actes de violence, la manifestation est déclarée illégale et le SPVM se doit d’intervenir pour y mettre un terme. De plus, le SPVM peut appliquer les règles édictées au Règlement municipal P-6 relativement à l’absence d’itinéraire, au port du masque et à l’utilisation de bâtons.
Pour la sécurité des manifestants et celle des citoyens, nous désirons rappeler aux participants les règles à suivre pendant la manifestation afin que cette dernière se déroule dans le bon ordre et en toute sécurité.
Règles pour réussir une manifestation
Questions-réponses
Q. Qui commande l’avis d’éviction et qu’advient-il ?
R. Un avis d’éviction est donné à partir du moment où le responsable d’un lieu public ou privé demande que les manifestants en soient expulsés. Le SPVM se doit alors d’intervenir et de tout mettre en œuvre pour rétablir l’ordre et le sentiment de sécurité des occupants des lieux.
Q. Combien de temps les policiers donnent-ils aux manifestants pour quitter les lieux et comment les avisent-ils ?
R. Selon la situation, le SPVM peut donner un ou plusieurs avis verbaux pour inviter les manifestants à quitter les lieux. Si l’ordre public est en péril, que la sécurité de citoyens est compromise et que les manifestants ne répondent pas à l’avis verbal donné, le SPVM passera à un niveau supérieur dans la gradation de l’intervention pour faire respecter la consigne de quitter les lieux.
Q. À partir de quand une manifestation est-elle déclarée comme illégale ?
R. Lorsque des infractions sont commises ou qu’il y a actes de violence, la manifestation est déclarée illégale et le SPVM interviendra pour y mettre un terme. De la même façon, si des manifestants occupent un lieu et que les responsables de l’endroit demandent l’aide de la police pour les expulser d’un local ou d’un édifice, la manifestation est alors considérée comme illégale.
Q. Pourquoi le SPVM sort-il ses groupes d’intervention lors de manifestations ?
R. Dès que la manifestation est déclarée illégale, les policiers des groupes d’intervention sont appelés en renfort et doivent prendre les moyens nécessaires pour mettre un terme à la manifestation.
Q. Pourquoi la police intervient-elle sur la rue ?
R. Lorsque la sécurité des participants est en danger ou qu’il y a commission d’infractions, d’actes de violence, de vandalisme, de méfaits ou autres, les policiers se doivent d’intervenir et de mettre fin à la manifestation dans les meilleurs délais. La manifestation est alors illégale